dimanche 28 février 2010

Aéroport de Nice pour le bus

Cet après-midi, nous nous sommes rendus directement au Terminal 1 de l'aéroport de Nice afin de voir comment ça se faisait en bus à partir de notre logement au Cros de Cagnes . On en a profité en même temps pour faire 2 caches pour le Géocacing :-))

Vous dire comment c'est facile de partir de Cagnes sur Mer ( Cros de Cagnes) , en bus , pour se rendre à l'aéroport de Nice, c'est un vrai jeu d'enfant et ça prend 12 à 15 minutes tout au plus.

Je mets des photos pour nos 2 fils qui arrivent avec les 3 petits, mardi prochain. Nous devrions être là pour vous accueillir , mais on ne sait jamais, et ça servira aussi à mon frère Michel s'il désire faire le même trajet, le tout à 1 euro seulement au lieu de 25 à 35 en taxi.

En sortant par la porte principale du Terminal 1, juste en face, on voit cet hôtel "Aéroport Nice Côte d'Azur" qui se trouve l'autre bord d'un grand boulevard.

Pour prendre le bus, il suffit, juste en sortant du terminal, d'emprunter le trottoir de droite qui nous fera traverser le fameux boulevard en toute sécurité, sous un petit tunnel, si vous suivez la flèche rouge.

On voit justement un bus qui fait monter des gens.



On doit passer sous un petit tunnel pour traverser sous le boulevard.


On tourne à gauche après le tunnel, afin de monter sur le trottoir de l'autre côté de la rue.



Immédiatement on voit l' abribus pour attendre le bus, station " La Promenade"
De là, il est possible de prendre 3 bus 200 400 ou 500 qui vous amènent au "Cros de Cagnes" Station "Les Oliviers" Il suffit juste de demander ça au conducteur " Cros de Cagnes" Station "Les Oliviers" et bingo, vous êtes presque rendus. Mais faut pas oublier de signaler le bus avec la main pour dire au conducteur d'arrêter, car il passera tout droit. :-))


Incroyable comme c'est facile de se déplacer avec tous ces transports en commun !!

vendredi 26 février 2010

Bon vendredi à tous

Vous allez tous bien ? Pierre et moi avons vraiment du plaisir à lire vos messages et vos commentaires.

Nous sommes revenus un peu plus tôt de notre petite virée à Lorgues cette semaine. Malheureusement nos amis étaient malades alors nous n'avons pas pu faire les sorties prévues, mais nous nous reprendrons une prochaines fois. Ils vont mieux, c'est ça le principal.

Aujourd'hui il y avait un vent pour décorner les boeufs....le fameux mistral. Mais heureusement, le soleil était bon et chaud. On a fait un petit tour au marché et ensuite nous avons été dîner dans un resto portugais qui nous sert de très bons mets. Pour finir la journée nous avons eu la visite, à la maison, d'un ami rencontré l'an passé et que nous étions très contents de retrouver.

Deux de nos fils arrivent mardi avec nos 3 ados, nous nous promettons du bon temps et quelques photos de nos sorties et folies en famille.

Au plaisir de vous lire.

mercredi 24 février 2010

Quelques jours à Lorgues

Bonjour tout le monde. Nous sommes à Lorgues, ville du centre Var, en Provence.

Nous avons la chance d'avoir des amis qui y demeurent et qui nous accueillent chez eux les bras grands ouverts.

Cette ville très jolie avec ses vieux murs , ses murets en tuff et ces vieux bâtiments ayant un vécu toujours particulier.
Voici quelques photos pour vous donner une idée de l'endroit que nous visitons ces jours-ci chez nos amis Arlette et Pierre qui nous ont reçus comme des rois.
Nous en profitons pour les remercier de tout notre coeur. Demain nous retournons dans notre logement pour continuer notre voyage.

Au fond vous y voyez le Beffroi de Lorgues, ancienne tour du x11 siècle


Comme ils sont beaux ces platanes, ils doivent apporter une belle fraîcheur quand il fait très chaud.


Ici, c'est la porte Sarrazine qui fait un peu la notoriété de la ville.
Les Templiers avaient aménagé un enclos, sorte d'îlot indépendant constitué d'une cour, d'un porche d'accès, d'un entrepôt, d'un cellier et de quelques bâtiments divers dont une partie désignée par les historiens lorguais comme étant une chapelle.

PS: je crois que la photographe avait les pieds instables :-)) Mais faut dire que la rue est vraiment en pente.



Une source couverte.






Ces racines bien accrochées au muret semblent immortelles.















dimanche 21 février 2010

Principauté de Seborga ( Italie )



En ce beau dimanche ensoleillé, nous sommes allés avec nos amis Jean-Pierre et Isabelle dans la jolie ville italienne de "Seborga" une principauté méconnue....et à l'histoire un peu nébuleuse quant à cette fameuse principauté.



Il paraît que la ville fait des efforts seulement depuis environ 8 à 10 ans pour promouvoir ce bel endroit, c'est pour ça que cette place est si peu connue. Mais ils sont mieux de pas trop commercialiser le tout, car il va manquer de place pour accueillir les touristes. Présentement ils sont sans Prince car ce fameux prince est décédé dernièrement. L' histoire est à suivre pour le successeur car il y a 14 personnes en attente d'être élues d'ici quelques semaines.



Nous avons adoré cet endroit situé entre Vintimiglia et SanRemo en Italie, dans la montagne et si jamais nous pouvions y retourner, nous y retournerions avec plaisir, car nous avons encore beaucoup à apprendre au sujet de Seborga.



Si vous voulez en savoir plus, nous vous mettons une partie de l'histoire de cette principauté glanée ici et là sur Internet :



Seborga paraît dans l'histoire à partir des années 954.
En 1118, le Prince –Abbé Edouard ordonne les premiers neuf Templiers (ou Chevaliers de Saint Bernard) et la Principauté de SEBORGA devient le premier et unique Etat souverain Cistercien dans l’Histoire. En 1127 les neuf Templiers rentre de Jérusalem à SEBORGA. Saint Bernard (de Clairvaux) les y attend et ordonne Hugues de Paynes comme étant le premier Grand Maître des Chevaliers de Saint Bernard. SEBORGA restera un Etat Cistercien jusqu’en Janvier 1729, quand le Principauté est vendue à Victor Amedeo II, Prince de Savoie, du Piémont , Roi de Sardaigne.





Joli balcon de la place centrale donnant le ton à la visite de ce petit village.






Place centrale avec sa fontaine.








Peinture des chevaliers sur un des murs au centre ville





Vue du haut de Seborga




La fameuse croix des chevaliers.




Visite de l'Église St-Martin





Rue toute décorée avec des peintures accrochées aux murs.







Place d'un joli resto







Pierre avec Isabelle et Jean-Pierre







Pour le dîner, nous sommes allés dans une trattoria, typiquement italienne. Nous avons pris des raviolis farcis à la sauge, servis dans une onctueuse sauce au beurre et à l'huile d'olive. Comme plat principal 3 personnes on pris du lapin au vin rouge et Pierre a choisi un plat typique de ce coin, soit de la chèvre. Tout était délicieux incluant le plat de chèvre qui avait été mijoté dans le vin rouge et servi sur un lit de haricots. Quant au lapin, il était servi avec une polenta crémeuse à souhait. Un espresso et un petit limoncello et c'est reparti pour Cagnes-sur-Mer. Le tout arrosé bien sûr avec un bon rouge maison.
Pierre tenait à partager avec vous son petit-déjeûner avec des oeufs garnis de tranches de truffe.


Pierre & Ginette



samedi 20 février 2010

Coup de mer

Hier à la fin de la journée on voyait bien qu'une tempête s'annoncait sur la mer. Il faisait assez doux et je suis allée prendre une marche sur le bord de la mer car on voyait bien de notre appartement que les vagues étaient belles et grosses.Mais plus le temps avancait, plus la mer se déchaînait.

Selon les journaux de ce matin il y avait des vagues de plus de 4 mètres et je le crois après les avoir vues. C'était ahurissant d'entendre le tout...mais beau en même temps.

Les policiers , par la suite ont empêché les gens de circuler car de gros gallets roulaient dans les rues et ça devenait dangereux avec les vagues qui venaient se casser sur la route.

Plusieurs restos de plage ont été abimés , les vitres fracassées et les restos défoncés jusqu'aux cuisines. En dernier, avant de revenir chez nous j'ai changé de trottoir car je trouvais ça dangereux et j'étais seule, alors autant être prudente.

Heureusement aujourd'hui il fait un temps splendide et on a passé beaucoup de temps dehors à profiter du soleil et à nous promener ici et là dans notre coin.








Réponses aux commentaires sur les truffes

Quelle surprise de voir les commentaires d'un ancien collègue de travail, Paul Rochefort, ainsi que sa conjointe Mireille. Tous les endroits que vous mentionnez, nous les connaissons et ils sont merveilleux. Nous venons sur la côte D'Azur depuis plusieurs années et nous commençons à apprivoiser le coin. Dimanche nous partons pour la principauté de Séborga en Italie, endroit méconnu de la plupart des touristes. On en parlera dans notre blog. Au plaisir de vous lire à nouveau.






Monique et Gaston, ne craignez rien, on a bien l'intention de revenir au Québec, même si nous adorons passer l'hiver ici en Provence.





Merci Andrée pour tes commentaires pleins d'humour que nous lisons toujours avec grand plaisir. Pour répondre à tes questions, Michel Santinelli n'est pas célibataire malheureusement et même si je n'aime pas les chiens, j'aurais adopté sa chienne Bella qui n'a pas son pareil pour sentir les truffes. Imagine un chien pour les morilles...Un rêve !






Bob et Diane ont bien raison en mentionnant que je déteste me salir les mains, mais pour une truffe, que n'aurais-je pas fait. Vous devriez entraîner Horace pour la chasse aux morilles et aux chanterelles. Qu'en dites-vous ? Vous fournissez le chien et je fournis les talles de morilles.






Pour répondre à Peter, oui le monsieur a conservé quelques truffes pour lui et nous aussi on préfère ramasser les morilles dans de beaux endroits sablonneux et non montagneux. Surtout que la morille se ramasse au printemps lorsque tout sent bon dans la forêt et que le soleil réchauffe la terre. J'ai déjà hâte au printemps du Québec.





Jackie, le monsieur a conservé quelques belles truffes pour lui également et la cueillette se fait de décembre au 15 mars environ et ce, pas toujours en montagne heureusement. La truffe pousse en symbiose avec le chêne surtout et aussi, parfois, avec le noisettier, le tilleul ou le charme (genre de plaine ou faux érable). Nous n'avons pas de charme au Québec, en tout cas pas la variété qui pousse en Provence. Ça prend un sol calcaire et il faut donc oublier la région de l'Abitibi étant donné l'acidité du sol chez-nous. Je suis persuadé cependant que tout près de chez-toi, lorsque nous y sommes allés, il y a des dizaines, sinon des centaines de chênes dans le parc du Mont St-Bruno et je ne serais pas surpris que le sol soit assez calcaire pour abriter la "Tuber canaliculatum" ou la truffe à veinules, une hypogée récemment cueillie au Québec. Malgré que Pomerleau, dans son encyclopédie des champignons du Canada, disait qu'il n'y avait pas de truffes au Québec, j'ai toujours été convaincu du contraire, étant certain qu'il y avait au Québec une ou plusieurs variétés de truffes. Voir site suivant:



http://www.flickr.com/photos/27441280@N06/2707608761/#DiscussPhoto





Pierre & Ginette

jeudi 18 février 2010

Partie 2, excursion aux truffes

Voici donc tel que demandé les vidéos sur notre excursion aux truffes.

Pierre qui cherche


Pierre qui trouve des truffes

Ça sent bon.

Une démonstration du chien truffier, Bella.

Excursion aux truffes, dans les Alpes

La Truffe (Tuber melanosporum)


Ce 18 février restera à jamais gravé dans nos coeurs et nos têtes. C'est un peu pour nous , de vieux mycologues amateurs, un rêve d'une vie qui s'est réalisé, un peu comme un alpiniste qui réussit à gravir l'Everest.

Pierre et moi allons vous raconter chacun dans nos mots, notre expérience.

Ce matin, 8 heures, nous partons avec notre guide, Michel Santinelli, le président de l'association des trufficulteurs de la région de Provence...donc le guide no. 1 par excellence. Un des grands connaisseurs de truffes de Provence.

Nous ne savions pas trop où nous allions, mais plus nous avancions en voiture, plus nous quittions la ville et montions sur les chemins tortueux et étroits de la montagne, plus notre anxiété montait. Pourtant nous n'étions qu'à une vingtaine de minutes de 4 x 4 de notre appartement de Cagnes. Monsieur Santinelli trouvait que j'étais mal chaussée et moi aussi en voyant la neige et la boue. Mais n'écoutant que mon courage j'étais prête à tout. :-)) On lui a dit que nous venions nous baigner et prendre le soleil à Cagnes-sur-Mer et non gravir une montagne avec de la neige. Ce dernier a justement dit qu'il n'avait pas vu de neige comme ça depuis plus de 20 ans. Il est donc très rare de ramasser des truffes avec de la neige au sol et, cette année, c'est exceptionnel. Mais dans les Alpes, il faut s'attendre à tout et même à cette hauteur, la neige arrive parfois.

Voici le début de la montée avec notre guide et Bella, le chien truffier par excellence, qui vient de gratter le sol pour indiquer à son maître l'endroit où se trouve la truffe.



Bella, le chien truffier vient de diriger son maître vers une première truffe. Michel gratte et creuse donc le sol avec un grattoir en forme de crochet pour dévoiler la cachette de la truffe. Les truffes se cachent à une profondeur variant de 1cm à 20 cm dans le sol.



Tout en escaladant, tombant, et glissant nous pouvions voir des murets du temps des Liguriens et même des Romains. Très impressionnant comme environnement.



Ici, c'est une maison de berger et son muret.



Pierre avec sa première truffe. À l'arrière, vous pouvez voir un peu les montagnes qui nous entourent.




Pierre heureux, mais fatigué. Si vous pensez que le mont Chaudron en Abitibi est haut, alors venez dans les Alpes et vous verrez c'est quoi la montagne. Il faut le voir pour le croire. Il faut dire que les truffes poussent en symbiose avec les chênes et les noisettiers et on en trouve dans les endroits un peu moins montagneux et plus faciles d'accès, mais comme notre guide voulait absolument que nous trouvions des truffes, alors l'endroit choisi est difficile d'accès.



Une partie du paysage. Tout au long de notre montée, je me disais "va falloir redescendre aussi "






Pierre qui continue de monter et monter avec de temps en temps un: "Sacra...ça monte comme dans la face d'un singe". Par bout, nous étions heureux de nous tenir après les genêts et les arbustes de la montagne. Et cette place sur la photo était facile, car à des endroits, nous n'aurions pas pu prendre des photos tellement nous étions presque à 4 pattes.





J'étais tellement heureuse de voir la voiture à notre retour. J'avais les pantalons trempés, le fessier trempé également et mes bas dégoulinaient. Heureusement, j'avais mis dans mes poches une autre paire de bas.
Voici une partie de la récolte à notre retour. Notre guide a dû en prendre 4 ou 5 également. Elles ne sont pas lavées encore...mais une fois brossées et lavées, elles sont vraiment brillantes et appétissantes, comme celles dans le pot en verre plus bas.





Ginette en train de commencer la brouillade en tranchant finement les truffes à la mandoline.


Les truffes râpées



La brouillade en préparation hummmmm... La senteur...l'odeur... le bonheur. Miam...Miam...



La portion réservée à nos enfants pour la première semaine de mars.
PS :Arlette, j'en ai réservé une petite pour nous 4 la semaine prochaine. Elles sont vraiment belles toutes lavées.



Et voici Pierre qui termine le repas, au soleil sur notre balcon
avec un "petit gris" du pays. Elle est pas belle la vie ?

Parlons maintenant de conservation de la truffe. Décevant ! Une truffe fraîche se conserve au frigo pendant une période de 5 à 7 jours, bien emballée dans un sac papier. On ne peut malheureusement sécher la truffe comme on le fait avec les morilles ou les cèpes. La truffe peut se congeler dans un contenant hermétique et conservée bien au congélo pendant un maximum de 6 mois, un peu comme la viande. Ce qui veut donc dire qu'il est impensable que nous ramenions une ou des truffes au Québec. Je voulais mettre des truffes dans l'huile d'olive et rapporter le tout à la maison, mais M. Santinelli nous a déconseillé de le faire étant donné que la truffe va rancir et contaminer l'huile d'olive au lieu de la parfumer. Il faut donc manger les truffes fraîches et nous nous sommes donc sacrifiés pour vous tous en les avalant bien goulûment.
Conclusion: Journée mémorable et inoubliable. Quant au goût des truffes et bien disons que c'est particulier, surtout pour l'odeur. Mais Ginette et moi sommes d'avis que tout ce qui entoure la truffe est surfait et que les prix exagérés doivent correspondre à la rareté et à la difficulté de les trouver, plus que par son goût. Disons aussi qu'un bonne omelette aux morilles ou aux cèpes est toute aussi bonne et beaucoup moins dispendieuse et plus facile à se procurer. Journée fabuleuse qui couronne notre carrière de mycologues et mycophages.
Pierre & Ginette

mercredi 17 février 2010

JOURNÉE DE PLUIE

Aujourd'hui mercredi le 17 février, nous devions partir à la chasse aux truffes avec M. Santinelli, président de l'association des truffiers de Provence. Quelle déception ce matin de constater qu'il pleut des clous, ce qui est exceptionnel sur la Côte d'Azur. On dit toujours que le soleil brille 325 jours sur 365 en Provence. Pour aujourd'hui cependant on devra repasser.

Donc, M. Santinelli nous annonce qu'il pleut beaucoup trop et que le chien aurait de la difficulté à retrouver l'odeur des truffes. D'un commun accord, on prend rendez-vous pour demain matin à 8:15 A.M. Il doit venir nous chercher avec son 4 x 4 et son chien pour une tournée des truffes. Nous sommes déçus étant donné que vous rêvons depuis tellement d'années de rechercher des truffes, mais comme ce n'est que partie remise et que demain on nous annonce du beau temps, alors on se croise les doigts. Ginette et moi, en mycologues et surtout mycophages depuis de nombreuses années, il ne nous manque que la cueillette des truffes pour boucler la boucle à notre expérience mycologique. On vous en reparle en espérant de belles photos et peut-être un petit vidéo démontrant les prouesses de notre chien truffier.

En passant, petit message à notre amie Andrée, nos amis Ch'tis sont vraiment gentils et l'an passée nous avons eu un plaisir fou en leur compagnie. Nous sommes bien d'accord avec toi et nous aussi en Abitibi, sommes les Ch'tis du Québec.

Nous voudrions dire à notre beau et gentil petit-fils William de continuer à lire nos chroniques et à en faire mention à son entourage. Papy et Mamy ont bien hâte de vous voir, toi et ta soeur, dans la première semaine de mars à Cagnes-sur-Mer et nous vous avons préparé tout un itinéraire, dont une sortie et une bouffe extraordinaire en Italie. Miam...Miam...

À bientôt.

Pierre & Ginette

mardi 16 février 2010

Visite au marché

Après notre virée de la fin de semaine nous avons été tranquilles aujourd'hui pour nous reposer. Nous ne pouvons pas toujours être " sur la trotte " .

C'était donc la journée du marché à quelques pas de la maison et c'est ça que nous avons fait aujourd'hui, flâner autour des marchandises, saluer des gens qui commencent à nous reconnaître en nous disant "salut les Québécois" et nous aussi de notre bord, autrement dit, on a pris ça cool.

On en a profité aussi pour aller visiter et réserver un Hôtel pour Michel, le frère de Ginette qui sera ici 10 jours vers la fin de mars. Il voulait se reposer et ne pas nous déranger alors il a choisi de louer près de notre logement.


Une belle vue sur la mer, sans le bruit des voitures qui passent entre la mer et les maisons du bord de mer.
Nous planifions une petite virée en Italie pour dimanche si la température le permet et nous sommes attendus chez des amis la semaine prochaine, dans les terres de Provence, pour fêter notre 42 ième anniversaire de mariage avec Jean-Pierre et Lysiane qui fêtent aussi leur 42 ième anniversaire de mariage la même journée que nous. Champagne en perspective. Jean-Pierre et Lysiane se sont des "Ch'tis" vraiment sympathiques et on prévoit une journée de boustifaille et de pétanque. On vous en parlera à notre retour, avec photos et tout...
À demain les amis.
Pierre & Ginette







lundi 15 février 2010

Visite de Toulon et du Var

Bonjour tout le monde. Nous voilà revenus de notre escapade dans le Var chez nos amis Arlette et Pierre qui demeurent à Lorgues. Quelle belle fin de semaine ! Nous avons été reçus comme des rois. Cuisses de grenouilles, bons vins, champagne, oreillettes ( desserts) veau Orloff, ect... etc... Toutes des bonnes choses pour le tour de taille.:-)) Merci Arlette et Pierre et merci à tes parents également pour nous avoir si bien reçus.

Justement les parents d'Arlette qui nous ont fait visiter Toulon et sa rade ainsi que le fameux Mont Faron. Ce Mont Faron, qui domine Toulon de son imposante silhouette, a valu jadis à cette ville l'appellation de « Port la Montagne ». Les allemands y étaient à la dernière guerre et occupaient la place. Ces endroits là m'émeuvent tout le temps.

Voici quelques photos prises au Mont Faron (légèrement plus haut qu'en Abitibi).








Les deux Pierre qui discutent au Mont Faron.






Ci-bas, partie des anciens "bunkers" abritant les allemands et les canons de 80mm.

On a fait la découverte des "oreillettes" Une petite gâterie qui se prenait très bien avec du Champagne offert par le grand-papa de 90 ans qui était aussi agile et alerte qu'un homme de 35 ans.

Ici, c'est Pierre qui se préparait à trouver une cache de Géocaching à Vidauban. Mais c'est Ginette qui a trouvé la cache. :-))



Les gais lurons qui dégustaient de bonnes cuisses de grenouilles aïllées comme il se doit.




Pierre à la gare ce matin. Il ne lui manque que la baguette sous le bras pour ressembler à un vrai français. Il va falloir reparler de la qualité et du confort des trains en Europe. Tout simplement génial, rapide, efficace et ponctuel. Pourtant, au Québec, nous avons le pays idéal pour l'utilisation d'un TVG, que ce soit de Montréal à Québec, de Montréal à Toronto, de Montréal à Val D'Or, de Montréal au lac St-Jean, de Montréal à la Gaspésie etc...etc... Incroyable comme nous sommes lents à comprendre chez-nous lorsqu'il s'agit du transport en commun et surtout du transport en commun efficace, peu coûteux et rapide. Bof ! Il faut dire que nous sommes gouvernés par des tatas et ce depuis au moins 50 ans. Alors, il faudra repasser pour un transport efficace chez-nous.

Nos tourtereaux Pierre et Arlette à Toulon, au Mont Faron.